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Atelier d'écriture de la Seconde 6 du Lycée Gustave Eiffel (Gagny)
Atelier d'écriture de la Seconde 6 du Lycée Gustave Eiffel (Gagny)
Atelier d'écriture de la Seconde 6 du Lycée Gustave Eiffel (Gagny)
24 janvier 2010

Texte de Dylan

Tarkan rentrait chez lui après seulement une petite semaine de vacances, à peine reposé mais la tête pleine de bons moments .Autant dire qu’il ne s’attendait pas à ce qui allait lui arriver.

inq minutes plus tard, il verrait sa maison dans laquelle il pourrait déposer ses nombreux souvenirs qui lui tiendraient chaud au cœur le reste de l’année. Ça y était ! Il la voyait ! Mais quelque chose n’allait pas. Que faisaient donc toutes ces voitures de police devant son porche ? Sans comprendre ce qui lui arrivait, il fut trainé à gauche, à droite, interrogé et avant même qu’il ouvre sa porte d’entrée les forces de l’ordre partaient et l’affaire était classée. Il ne sut même pas de quoi l’affaire retournait et ne le sut que plus tard en lisant les journaux. Deux enfant de douze et treize ans avaient disparu et avaient été vus pour la dernière fois jouant dans sa maison

  Tarkan n’aimait plus vivre dans cette maison qui lui semblait étrange désormais. Chaque bruit qui retentissait lui donnait un frisson et faisait s’emballer son imagination. Un soir, il lisait dans son sofa lorsque le sonnette retentit, ce qui le fit sursauter, car il était peu habitué à avoir de la visite. Une femme attendait derrière la porte. Elle se présenta comme l’inspectrice qui s’occupait de l’affaire qui s’était déroulée quelques semaines auparavant. Elle voulait lui parler de cette affaire car elle estimait qu’il avait le droit de savoir ce qui s’était passé dans sa propre maison. Il l’invita lui offrit un café brulant, agréable par le temps pluvieux qu’il faisait.il apprit que la maison avait été fouillée  de fond en comble mais rien n’avait été trouvé,  même pas une trace d’eux. Au bout d’une heure il était temps pour elle de partir et c’est alors que les plombs sautèrent, rien d’alarmant, elle tint à  l’accompagner jusqu’au disjoncteur à la cave, autant pour être polie que pour éviter de sortir sous la tempête qui sévissait. Arrivés devant le boitier, ils virent tous les deux à la lueur d’une lampe torche, que plus aucun des sept fusibles n’étaient là. Tarakan chercha par terre en s’excusant du temps que cela prenait. Il ne trouva rien. Elle qui habitait plutôt loin s’impatientait et lui demanda s‘il n’en avait tout simplement pas une boite de rechange, il répondit que il devrait normalement y en avoir une au premier étage. Pressé de revoir enfin la lumière, les nuit d’orage rendaient vraiment cette maison glauque, ils coururent  jusqu’à l’escalier du premier, non sans que Tarkan ne se prît le genou dans la table basse en lâchant une volé de jurons. Il s’arrêtèrent devan l’escalier. La policière lui demanda pourquoi. Il répondit qu’il montait tellement rarement qu’il devrait surement cherché à tâtons. Au moment de monter sur la première marche la lampe éclaira le haut de l’escalier et l’inspectrice entraperçtu une personne ou plutôt la jambe d’un petit garçon disparaître sur le coté. Lorsque qu’elle en fit part à Tarakan il lui répondit que cela devait être son imagination et elle n’insista pas. Arrivé en haut ils entendirent distinctement un bruit sourd, comme un objet lourd que l’on poussait. Intrigués et effrayés à la fois ils coururent vers le bruit et s’arrêtèrent devant la porte d’une ancienne chambre persuadés que le bruit venait de là. La porte était fermée et aucun des deux n’osaient l’ouvrir. Elle se dit qu’elle était policière et qu’elle ne pouvait pas avoir peur de deux enfants ou quoi que ce soit d’autre. Elle ouvrit la porte d’un coup sec et…

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