Texte de Dylan
Tarkan rentrait chez lui après
seulement une petite semaine de vacances,
à peine reposé mais la tête pleine de bons moments .Autant dire qu’il ne
s’attendait pas à ce qui allait lui arriver.
inq minutes plus tard, il verrait
sa maison dans laquelle il pourrait déposer ses nombreux souvenirs qui lui
tiendraient chaud au cœur le reste de l’année. Ça y était ! Il la voyait ! Mais quelque
chose n’allait pas. Que faisaient donc toutes ces voitures de police devant son
porche ? Sans comprendre ce qui lui arrivait, il fut trainé à gauche, à
droite, interrogé et avant même qu’il ouvre sa porte d’entrée les forces de
l’ordre partaient et l’affaire était classée. Il ne sut même pas de quoi l’affaire
retournait et ne le sut que plus tard en lisant les journaux. Deux enfant de
douze et treize ans avaient disparu et avaient été vus pour la dernière fois
jouant dans sa maison
Tarkan n’aimait plus vivre dans
cette maison qui lui semblait étrange désormais. Chaque bruit qui retentissait lui donnait un frisson et faisait s’emballer
son imagination. Un soir, il lisait dans son sofa lorsque le sonnette retentit,
ce qui le fit sursauter, car il était peu habitué à avoir de la visite. Une femme attendait derrière
la porte. Elle se présenta comme l’inspectrice qui s’occupait de l’affaire qui s’était
déroulée quelques semaines auparavant. Elle voulait lui parler de cette affaire
car elle estimait qu’il avait le droit de savoir ce qui s’était passé dans sa
propre maison. Il l’invita lui offrit un café brulant, agréable par le temps
pluvieux qu’il faisait.il apprit que la maison avait été fouillée de fond en comble mais rien n’avait été trouvé,
même pas une trace d’eux. Au bout
d’une heure il était temps pour elle de partir et c’est alors que les plombs
sautèrent, rien d’alarmant, elle tint à l’accompagner jusqu’au disjoncteur à la cave,
autant pour être polie que pour éviter de sortir sous la tempête qui sévissait.
Arrivés devant le boitier, ils virent tous les deux à la lueur d’une lampe
torche, que plus aucun des sept fusibles n’étaient là. Tarakan chercha par
terre en s’excusant du temps que cela prenait. Il ne trouva rien. Elle qui
habitait plutôt loin s’impatientait et lui demanda s‘il n’en avait tout
simplement pas une boite de rechange, il répondit que il devrait normalement y
en avoir une au premier étage. Pressé de revoir enfin la lumière, les nuit
d’orage rendaient vraiment cette maison glauque, ils coururent jusqu’à l’escalier du premier, non sans que Tarkan
ne se prît le genou dans la table basse en lâchant une volé de jurons. Il s’arrêtèrent
devan l’escalier. La policière lui demanda pourquoi. Il répondit qu’il montait
tellement rarement qu’il devrait surement cherché à tâtons. Au moment de monter
sur la première marche la lampe éclaira le haut de l’escalier et l’inspectrice
entraperçtu une personne ou plutôt la jambe d’un petit garçon disparaître sur
le coté. Lorsque qu’elle en fit part à Tarakan il lui répondit que cela devait
être son imagination et elle n’insista pas. Arrivé en haut ils entendirent
distinctement un bruit sourd, comme un objet lourd que l’on poussait. Intrigués
et effrayés à la fois ils coururent vers le bruit et s’arrêtèrent devant la
porte d’une ancienne chambre persuadés que le bruit venait de là. La porte
était fermée et aucun des deux n’osaient l’ouvrir. Elle se dit qu’elle était
policière et qu’elle ne pouvait pas avoir peur de deux enfants ou quoi que ce
soit d’autre. Elle ouvrit la porte d’un coup sec et…